
Les unités d'occupation
En cours
Chemin de la Résistance et des Maquis
Mis en ligne sur le site le 18 SEPTEMBRE 2025
Liens utiles :
Article à télécharger :
Source: Anne FRIANT
La Bretagne a vu passer sur son sol trente et une divisions d'infanterie, cinq divisions parachutistes, deux divisions blindées, une brigade blindée, ainsi que diverses autres unités. Toutes ces divisions sont restées plus ou moins longtemps sur le sol breton.
Les premières étaient des divisions d'invasion, puis vinrent les divisions d'occupation.
Après l'offensive contre la Russie, la Bretagne a servi de base arrière pour la remise en forme de divisions éprouvées par les combats.
Puis est arrivé Stalingrad, où la 6° armée du Generalfeldmarschall Von Paulus a capitulé le 2 février 1943. La défaite a entraîné l'anéantissement de seize divisions d'infanterie, de trois divisions blindées et d'une division de chasseurs alpins.
Toutes ces divisions ont été reconstituées, dès mars ou avril 1943, avec des convalescents, des permissionnaires, des unités qui avaient echappe a lencerclement et de nouvelles recrues.
Sur les seize divisions d'infanterie détruites, six ont été reconstituées en Bretagne, principalement dans le Finistère et le Morbihan, à savoir les 76°, 94°, 113°, 305°, 371°, 384 divisions. La 14° division blindée a été reconstituée dans le secteur Nantes-Angers, et la 16e division blindée, en Bretagne.
L'état-major allemand craignant une opération aéroportée en Bretagne, des divisions de renfort sont apparues ensuite: la 353° division, les 3° et 5° divisions parachutistes et après le Débarque-ment, la 2° division parachutiste.
Les dernières divisions « bretonnes» sont des divisions statiques, spécialement constituées pour la défense des côtes, à savoir les 77°, 265°, 266€ et 343° divisions. Elles seront détruites et capturées par les Américains à Saint-Malo, Brest, Lorient et Saint-Nazaire.
La Bretagne a vu passer sur son sol trente et une divisions d'infanterie, cinq divisions parachutistes, deux divisions blindées, une brigade blindée, ainsi que diverses autres unités. Toutes ces divisions sont restées plus ou moins longtemps sur le sol breton.
Les premières étaient des divisions d'invasion, puis vinrent les divisions d'occupation.
Après l'offensive contre la Russie, la Bretagne a servi de base arrière pour la remise en forme de divisions éprouvées par les combats.
Puis est arrivé Stalingrad, où la 6° armée du Generalfeldmarschall Von Paulus a capitulé le 2 février 1943. La défaite a entraîné l'anéantissement de seize divisions d'infanterie, de trois divisions blindées et d'une division de chasseurs alpins.
Toutes ces divisions ont été reconstituées, dès mars ou avril 1943, avec des convalescents, des permissionnaires, des unités qui avaient echappe a lencerclement et de nouvelles recrues.
Sur les seize divisions d'infanterie détruites, six ont été reconstituées en Bretagne, principalement dans le Finistère et le Morbihan, à savoir les 76°, 94°, 113°, 305°, 371°, 384 divisions. La 14° division blindée a été reconstituée dans le secteur Nantes-Angers, et la 16e division blindée, en Bretagne.
L'état-major allemand craignant une opération aéroportée en Bretagne, des divisions de renfort sont apparues ensuite: la 353° division, les 3° et 5° divisions parachutistes et après le Débarque-ment, la 2° division parachutiste.
Les dernières divisions « bretonnes» sont des divisions statiques, spécialement constituées pour la défense des côtes, à savoir les 77°, 265°, 266€ et 343° divisions. Elles seront détruites et capturées par les Américains à Saint-Malo, Brest, Lorient et Saint-Nazaire.